Ateliers de creations a fontenay sous bois

La chute. "que se tram t'il a Fontenay sous bois dans les années trente ? une bd sur le rapt d'une rame. Un peu d'histoire: L'année 1934 voit tout d'abord la suppression  en mai, des lignes traversant le Bois de Vincennes malgré leur remarquable tracé en double voie sur une plateforme indépendante qui survivra cinquante ans après la disparition des tramways.. L'année s'achève pour fêter Noël avec la suppression des lignes 122 de Fontenay-sous-Bois le reste du matériel roulant fut démoli, aussitôt après la suppression du réseau, même le matériel le plus récent, encore en excellent état. Les voies qui venaient d'être reconstruites à grand-peine, le caniveau qui avait englouti des sommes énormes et qui n'avait même pas encore été mis en service sur certaines artères (boulevard Magenta), tout fut vendu au prix de la ferraille. Les carrières de la RAPP ferment au même moment....une enquête menée moustache devant par notre inspecteur. ref : tram https

LA FONDERIE Les 6 et 7 avril de 11h à 19h. La Fonderie Pôle de création artistique à Fontenay-sous-Bois ouvre ses portes à l'occasion des Journées Européennes des Métiers d'Art. Le colporteur du "petit Rigollot". Stefano Zago le stix miroir.   En plus des ateliers ouverts, deux expositions vous attendent. L'exposition collective intitulée " Effilocher/ Sur le bout des doigts " offre des regards multiples d'une vingtaine d'artistes de la Fonderie sur le textile comme matière dans tous ses états.  Par ailleurs, une exposition de fin de résidence de Tina Marais, artiste visuelle et textile Canadienne et Sud-Africaine, met en espace des abstractions textiles à grande échelle.  Au bout des doigts, au bout du fil, au bout du textile. Le bord du tissu effiloché est une marge, un lieu où les trames et les grains se séparent. Point de bascule entre le textile et la fibre, entre l’ordre et le tumulte, entre la contrainte et la libération. La fonderie